| Assis sur leur banc, les deux mains agrippées à une rame unique, les galériens volontaires s'archarnent en cadence à faire avancer le plus vite possible leur tainière. Leur " patron ", en équilibre instable , debout sur la poupe, godille et exhorte du geste et de la voix ses treize rameurs qui puisent au plus profrond d'eux mêce l'énergie supplémentaire, nécéssaire afin d'aller plus vite que les adversaires. Les courses de trainiéres connaissent aujourd'hui un franc succès des deux cotés de la frontiére, certains équipages s'entrainent de façon professionnelle avec une préparation physique quotidienne
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